Porno Trash
Si « mon corps est un champ de bataille » il est aussi un « champ de jeux ».
A l’image d’un laboratoire expérimentale, Porno Trash se concentre sur la perception/construction sociale du corps dans l’espace public et questionne les oppressions et les processus de libération qui leurs sont attachés.
Cette performance fait ainsi appel à chaque personne en présence et invite à considérer la nudité comme un outil de création et de renforcement des relations et des affects.
Divisée en deux parties elle débute par des lectures collectives de textes traitant du processus de domestication du corps et de son contrôle politique et social. Elle se poursuit en portant l’attention vers la réappropriation du corps par la sexualité et le désir.
A l’image d’un laboratoire expérimentale, Porno Trash se concentre sur la perception/construction sociale du corps dans l’espace public et questionne les oppressions et les processus de libération qui leurs sont attachés.
Cette performance fait ainsi appel à chaque personne en présence et invite à considérer la nudité comme un outil de création et de renforcement des relations et des affects.
Divisée en deux parties elle débute par des lectures collectives de textes traitant du processus de domestication du corps et de son contrôle politique et social. Elle se poursuit en portant l’attention vers la réappropriation du corps par la sexualité et le désir.
Les lectures, accompagnées de mise à nue invitent doucement le public à faire de même, créant par la propagation de l'euphorie du corps libre et le renforcement des relations entre les participants un espace de transmission de "courage" et de transgression des normes.
Conception : Rachele Borghi et Zara Bonheur

